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15 octobre 2013 2 15 /10 /octobre /2013 21:16



Dans un village africain, le marabout a trouvé une solution pour faire tomber la pluie : il joue de son tam-tam. Mais un jour, c’est le drame ! Le tam-tam magique a disparu ! C’est ainsi que commence l’histoire d’Amina et de son petit singe coquin, Bongo. Les deux amis vont partir à la recherche de l’objet magique afin de sauver le village de la sécheresse. A travers cette histoire, les enfants découvriront un nouveau peuple et un nouveau continent : l’Afrique.

L’histoire est constituée de 6 parties, qui proposent chacune :
- un texte court,
- une illustration à colorier,
- une série de 6 questions de compréhension,
- 6 activités en rapport avec l’histoire (vocabulaire-écriture, graphisme, observation, mathématiques…).

Pour que l’enfant conserve une trace de sa lecture et des activités effectuées au fil des semaines, "Amina la petite Africaine" est présentée sous forme d’un album individuel qui, une fois achevé, témoignera auprès des parents du travail réalisé en classe.

Le conte à suivre présente l’avantage de proposer, sur une période plus ou moins longue, des exercices autour d’un même thème, le récit servant de fil conducteur. Cette façon de travailler a pour effet de motiver tous les enfants, même les plus "difficiles".

Pour prolonger le plaisir de la lecture, l'enfant retrouvera Amina et ses ami sous forme de personnages mobiles à découper, qu'il pourra faire évoluer dans les décors principaux de l'histoire : le village et la grotte (2 dioramas offerts).

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15 octobre 2013 2 15 /10 /octobre /2013 21:10

 

L'histoire de Wanikou est celle d'un petit Indien qui part à la recherche de son poney. Passionnante, cette quête est aussi l'occasion d'éveiller l'enfant à une culture différente, et de lui faire découvrir un peuple à travers ses traditions, ses objets, ses vêtements, ses habitations, etc., ainsi que tout le vocabulaire qui s'y rapporte.

L'histoire est constituée de 6 parties, qui proposent chacune :
- un texte court,
- une illustration à colorier,
- une série de 6 questions de compréhension,
- 5 pages d'activités en relation avec l'épisode (vocabulaire-écriture, graphisme, observation, mathématiques...).


Pour que l'enfant conserve une trace de sa lecture et des activités effectuées au fil des semaines, Wanikou le petit Indien est présenté sous forme d'un album individuel qui, une fois achevé, témoignera auprès des parents du travail réalisé en classe. Le conte à suivre présente l'avantage de proposer, sur une période plus ou moins longue, des exercices autour d'un même thème, le récit servant de fil conducteur. Cette façon de travailler a pour effet de motiver tous les enfants, même les plus "difficiles". Pour prolonger le plaisir de la lecture, l'enfant retrouvera Wanikou et ses amis sous forme de personnages mobiles à découper, qu'il pourra faire évoluer dans les décors principaux de l'histoire (2 dioramas offerts).

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14 octobre 2013 1 14 /10 /octobre /2013 22:59

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11 octobre 2013 5 11 /10 /octobre /2013 13:39



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11 octobre 2013 5 11 /10 /octobre /2013 13:37

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11 octobre 2013 5 11 /10 /octobre /2013 13:19



Ce dimanche soir (13-10-2013), Lou jouera en direct à la grande soirée de Cap48
(sur la RTBF à partir de 20h15).
D'ici là, faites comme lui, soyez généreux, ça fait du bien !
Un clic, un don (et un petit message : "je suis comme Lou" pour la traçabilité de notre engagement )
C'est ici : http://www.jeveuxaider.be/iwh/action.php?aid=53

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10 octobre 2013 4 10 /10 /octobre /2013 21:01

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10 octobre 2013 4 10 /10 /octobre /2013 12:47

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10 octobre 2013 4 10 /10 /octobre /2013 12:41

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5 octobre 2013 6 05 /10 /octobre /2013 17:15


Généralités sur le VIH/SIDA :


A. Les chiffres :

La guerre contre le VIH/sida est encore loin d’être gagnée. Chaque jour, dans le monde, il y a 11 000 nouvelles contaminations. Chaque jour, ce sont aussi plus de 7 500 vies qui sont anéanties par le sida. Dans le monde, en 2009, on estime qu’il y a environ 33 millions de séropositifs dont 22 millions en Afrique subsaharienne.

B. Les bases pour comprendre


De la contamination à la maladie, les 8 grandes étapes :
1) Prenons l’exemple d’une contamination par un rapport sexuel non protégé : dans un premier temps, le VIH (Virus de l’Immunodéficience Humaine) contenu dans le liquide sexuel traverse les muqueuses et remonte jusqu’aux ganglions, petits réservoirs de globules blancs (cellules qui nous permettent de nous défendre contre les microbes).
2) Arrivé au niveau des ganglions, le virus pénètre à l’intérieur de certaines cellules appelées Lymphocytes T4. Ces globules blancs sont ceux qui coordonnent l’action de l’ensemble de notre système de défense (système immunitaire) contre les microbes qui nous entourent.
3) Le virus se multiplie à l’intérieur de ces lymphocytes T4. Cela aboutit à la libération de centaines de nouveaux virus et à la mort des lymphocytes T4 infectés.
4)Dans le même temps, les lymphocytes T4 non contaminés jouent leur rôle de chef d’orchestre et commandent au système immunitaire de fabriquer différents éléments, tels que les anticorps, pour se défendre et détruire un maximum de virus. La fabrication des anticorps prend plusieurs semaines. Ce sont ces anticorps que l’on recherche si l’on fait un test de dépistage et on dit que la personne est « séropositive au VIH » s’ils sont présents.
5)Pendant des années, il n’y a aucun signe visible, la personne n’est pas malade. Mais à l’intérieur du corps, c’est une bataille permanente entre le virus qui tue les lymphocytes T4 et le système immunitaire qui tue un maximum de virus…
6)…Un maximum, mais pas tous : peu à peu, la bataille tourne à l’avantage du virus : il y a de plus en plus de virus produits, la quantité de virus dans le sang augmente, et le nombre de lymphocytes T4 diminue.
7)Au fur et à mesure, le nombre de lymphocytes T4 baisse, quand il est 5 fois moins important que le chiffre normal, le système immunitaire a perdu son chef d’orchestre et devient de moins en moins efficace. Alors, n’importe quel microbe peut provoquer une maladie. C’est ce qu’on appelle les « maladies opportunistes», puisqu’elles « profitent » de cette faiblesse immunitaire. On entre dans la phase S.I.D.A.
8)L’objectif d’un traitement contre le VIH est de stopper la multiplication du virus pour permettre à « l’armée » de lymphocytes T4 de se régénérer. Ce sont des traitements lourds et contraignants. Ils ne guérissent pas la personne : une fois que le virus est dans le corps, rien ne permet de le faire disparaitre complètement. La prise d’un tel traitement nécessite un suivi médical régulier, et dans de nombreux pays, le manque d’infrastructures sanitaires et de disponibilité des médicaments rendent impossible une bonne prise en charge de la maladie

Où se trouve le virus ?
Il est présent dans tous les liquides du corps, mais pas toujours en quantité suffisante pour contaminer. La transmission ne se fait que par CINQ liquides : le sang, les sécrétions sexuelles masculines : sperme et liquide pré-séminal, les sécrétions sexuelles féminines, et le lait maternel.

C. Comment est-on contaminé ?

Pour que la transmission se fasse entre une personne séropositive et une autre personne, il faut : une porte de sortie, un liquide contaminant et une porte d’entrée.


Il n’existe donc que trois situations :
1) les rapports sexuels non protégés : le risque de transmission varie en fonction des pratiques du couple.
2) Le contact sang à sang : Dans la vie quotidienne, cela peut survenir en cas de blessure profonde avec un objet souillé de sang contaminé frais (quelques minutes). A l’hôpital, le risque existe pour le patient d’une part, si les règles d’hygiène ne sont pas respectées (seringue contaminée réutilisée, ou lors d’une réception de transfusion sanguine, ou transplantation d’organe, mode de contamination rare dans les pays occidentaux). Le personnel soignant doit aussi être très prudent et se protéger. Enfin, les usagers de drogues encourent un risque s’ils partagent le matériel d’injection ou de sniff.
3) La transmission de la mère à l’enfant : le virus se transmet par le sang pendant la grossesse et l’accouchement, et par le lait maternel pendant l’allaitement.


Concrètement, quelles pratiques sont risquées ?

Aucun risque d'être contaminé(e) par le virus du sida:
- Toutes les pratiques sans pénétration.
- Rapport sexuel protégé avec un préservatif non périmé, bien installé et bien enlevé. (voir mode d'emploi plus loin).

Risque faible d'être contaminé(e) par le virus du sida mais le risque existe :
-Rapport bouche/sexe sans préservatif, avec ou sans éjaculation.

Risque fort d'être contaminé(e) par le virus du sida :
- Pénétration sans préservatif.

Les facteurs aggravants :

1) Les Infections Sexuellement Transmissibles (I.S.T)
Les I.S.T peuvent augmenter le risque d’acquisition et de transmission du VIH à cause des ulcérations et des érosions génitales qu’elles provoquent : les muqueuses sont fragilisées, leur rôle de barrière est moins efficace. Un préservatif mis en place correctement protège du VIH et de toutes les I.S.T transmissibles par voie de pénétration. La plupart des I.S.T guérissent si elles sont traitées à temps, mais les I.S.T non traitées peuvent entraîner des troubles graves, parfois irréversibles. Dans de nombreux cas, une I.S.T ne se voit pas. Elle peut se manifester par des démangeaisons, des brûlures, des lésions cutanées, des écoulements éventuellement malodorants…

2)Les rapports en période de primo-infection
Quand une personne vient de se faire contaminer (les premières semaines), le risque qu’elle transmette le VIH à un autre partenaire sexuel est très grand, car il y a beaucoup de virus dans le sang.

3) Les premiers rapports sexuels
La rupture de l’hymen, l’étroitesse vaginale et l’immaturité du col peuvent engendrer des inflammations, des saignements, et alors le risque de contamination est très grand.

4) Être une femme
Les femmes sont plus exposées au VIH. Cela signifie qu’une femme séronégative a plus de risque d'être contaminée qu'un homme. Il y a plusieurs raisons:
A cause de l’anatomie de l’appareil génital : la surface de muqueuse est beaucoup plus grande chez la femme que chez l’homme. Le sperme contient plus de virus que les sécrétions vaginales. Les rapports pendant les règles augmentent les risques pour les 2 partenaires, à cause du sang qui contient beaucoup de virus.
D’une manière générale, la sécheresse vaginale augmente le risque de contamination (pratiques d’assèchement vaginal effectuées par la femme). On peut appliquer un gel à base d’eau à l’entrée du vagin ou de l’anus pour faciliter la pénétration. Car si la muqueuse n’est pas assez lubrifiée, elle peut être le siège d’une inflammation (ce qui favorise l’entrée du virus) et il y a un risque de déchirure du préservatif. Il ne faut surtout pas utiliser du corps gras avec un préservatif car ce type de gel déchire le latex très facilement.
Enfin, les mutilations sexuelles féminines sont très dangereuses. Il s’agit de l’excision (ablation du clitoris et/ou petites lèvres) et de l’infibulation (couture des lèvres). Le risque de contamination existe déjà au cours du geste en lui-même si l’opératrice utilise la même lame pour plusieurs filles, puis à cause des lésions qui fragilisent les muqueuses.

5) Pouvoir et négociation
Certaines personnes n’ont pas assez de pouvoir ou « d’estime de soi » pour parvenir à négocier l’utilisation de moyens de réduire le risque dans les relations sexuelles. La pression des pairs, la domination par l’âge, le niveau social ou la richesse, l’envie d’être désirée, touchée, aimée, sont des facteurs qui peuvent faire que la personne a du mal à négocier avec son partenaire afin d’avoir des pratiques qui réduisent les risques.

6) L’alcool et autres drogues
L’usage d’alcool ou de drogues peut mener à un abandon des stratégies de protection.

7) Les rapports sexuels violents ou non désirés
L’absence de lubrification naturelle, les saignements, augmentent les risques de transmission.

8) Pauvreté et santé
Le fait d’avoir peu d’argent et un statut socio-économique précaire est souvent associé à une moins bonne santé. La marginalisation de ces groupes sociaux conduit fréquemment à un manque d’accès à l’éducation, au logement ou aux soins de santé, une faible estime de soi, un contrôle plus restreint sur sa vie et une moins grande capacité de faire des choix positifs en matière de santé. Cependant, dans certains pays, le pouvoir financier permet d'avoir de multiples partenaires et augmente ainsi le risque de contamination.

D. Comment se protéger ?

1) Pour éviter la contamination par les voies sexuelles, deux solutions :
- le préservatif masculin : à bien installer avant la pénétration sur la verge en érection. Après le rapport, le maintenir en place sur le sexe lors du retrait puis le jeter à la poubelle.
- le préservatif féminin : la femme l’insère dans son vagin avant le rapport.
De plus, tous deux protègent d’une grossesse et des autres I.S.T. Attention, il ne faut surtout pas mettre deux préservatifs en même temps (le frottement des deux préservatifs les fragilise.)
De récentes études ont montré que le risque d'être contaminé est un peu moins fort pour un homme circoncis que pour un homme non circoncis. Mais le geste de la circoncision doit être fait dans de bonnes conditions d'hygiène (lame à usage unique), et la circoncision ne remplace en aucun cas le port du préservatif!

2) Pour éviter la transmission par le sang : Dans la vie quotidienne, éviter de se couper avec un objet tranchant souillé de sang. Dans les hôpitaux, les professionnels sont responsables de la bonne stérilisation de leur matériel et du contrôle des échantillons de sang.
Si je travaille dans un hôpital, comment me protéger ? Le sang doit toujours être considéré comme potentiellement contaminant. Les précautions suivantes doivent être respectées pour éviter les risques d’exposition :
- utiliser du matériel à usage unique
- ne pas recapuchonner ni désadapter les aiguilles à la main
- éliminer immédiatement après utilisation les matériels coupants dans des conteneurs adaptés
-porter des gants s’il existe un risque de contact avec du sang ou si l’on a soi-même des lésions cutanées sur les mains.
- Porter une protection adaptée (blouse, lunettes, masque) s’il y a un risque de projection
- Se laver les mains avant et après les soins, appliquer une solution antiseptique (Dakin) en cas de souillure
- Décontaminer les instruments, les surfaces et les sols souillés

Que faire en cas d’Accident d' Exposition au Sang ?
Après une blessure, il est recommandé de laver la plaie à l'eau et au savon, et d'appliquer un antiseptique (un dérivé chloré : dakin, eau de javel à 12° diluée au 1/10, ou à défaut, alcool à 70°). Le temps de contact doit être d'au moins 5 minutes. En cas de projection sur une muqueuse, rincer abondamment au sérum physiologique, ou à défaut à l'eau courante. Il existe un traitement d'urgence à prendre le plus tôt possible après l'exposition.

3) La prévention de la transmission de la mère séropositive à son bébé nécessite un suivi médical pendant la grossesse : des traitements permettent d’amener le risque de contamination proche de zéro. Pour les mères affectées par le VIH, on recommande l’alimentation de substitution si elle est acceptable, praticable, financièrement abordable, sûre et durable pour la mère et l’enfant. Sinon, la mère peut nourrir son enfant par l'allaitement au sein exclusif durant les six premiers mois.

E. Le test de dépistage

Le test de dépistage permet de savoir si le VIH est présent dans l’organisme. On peut le faire dans des hôpitaux, des dispensaires, des centres de dépistages... Il est pratiqué sur une prise de sang que l’on effectue sur le patient à l’issue d’un dialogue confidentiel avec le soignant.
- Si le test est positif, cela veut dire que la personne a été contaminée par le virus du sida. La personne est dite séropositive, et c’est pour toujours.
- Si le test est négatif, cela veut dire que la personne n’a pas été contaminée, on dit qu’elle est séronégative. Quand le test est négatif, ce n’est pas forcément pour toujours. Avoir un test négatif ne veut pas dire qu’on est protégé à vie. Si l'on veut rester séronégatif, il faut protéger ses rapports sexuels à risque.
Attention : beaucoup de personnes viennent faire un test tout de suite après une prise de risque. Mais entre le moment où le VIH entre dans l’organisme et le moment où il laisse une trace décelable dans le sang, il se passe quelques semaines (la durée varie selon les individus). Il faut donc attendre trois mois après une prise de risque pour faire le test et savoir si l’on est contaminé.

On pourrait penser que chacun d’entre nous est soit positif soit négatif. Mais pour être l’un ou l’autre, il faut avoir fait un test. L’immense majorité des gens n’a jamais fait de test.
On comprend les nombreux freins à aller faire un test :
- L’image de la maladie honteuse : le sida est souvent une maladie taboue qui remet en question la place du malade dans sa famille ou sa communauté.
- L’impuissance ressentie face à une maladie incurable, et le coût des traitements souvent bien trop élevé.
- Le déni de la maladie, accepter que le sida existe ou que le préservatif est un moyen sûr de protection oblige à s’interroger et à remettre en question ses pratiques sexuelles et son mode de vie, ce qui peut être source d’une angoisse profonde.
- L’insuffisance ou l’éloignement des lieux de dépistage volontaire, ou son coût trop élevé dans certains centres.
- Les réticences de nombreux médecins à aborder la question du dépistage avec leurs patients, l’insuffisance des actions de promotion du test.

Mais de nombreux arguments plaident en faveur du dépistage :
- connaître son statut sérologique afin de prévenir et de guérir à temps les maladies opportunistes,
- accéder à une information précise sur les risques et la façon de les éviter,
- être orienté vers une association de lutte contre le sida pour avoir un soutien, des conseils et rencontrer d’autres personnes vivant avec le VIH.
- Pour les femmes enceintes, avoir accès aux mesures de réduction des risques pour l’enfant.
- Valoriser la volonté de se protéger et de protéger les autres, et vivre de façon cohérente sa religion lorsqu’elle prône le respect et la protection de l’autre.

Vous avez maintenant les clés pour en parler, car la meilleure prévention est encore l’information. Rompre le silence et parler sans tabou, c’est ce qui permet de lutter efficacement.

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En Quelques Mots ...

  • : Réflexion et recherche sur le cours de morale non confessionnelle de l'enseignement primaire
  • : A la recherche de pistes pour alimenter les pratiques du cours de morale non confessionnelle dans l'enseignement primaire...
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