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25 mai 2015 1 25 /05 /mai /2015 19:45

Voilà, vous avez remarqué que je suis moins active sur ce blog depuis quelques mois ! En effet, je suis passée "de l'autre côté de la force" et je me suis inscrite sur FB dans le groupe

Morale et cours philosophiques en primaire : échanges de cours.

Mettre tout en double serait très lourd donc ... venez nous y rejoindre !!!

Confraternellement

Joëlle

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8 avril 2015 3 08 /04 /avril /2015 22:32

vidéo des tirs USA: un suspect inculpé dans l'enquête sur les tirs contre deux policiers à Ferguson International

Un policier blanc a été arrêté et inculpé de meurtre mardi en Caroline du Sud (sud-est des Etats-Unis), après la diffusion d'une vidéo le montrant en train de tirer à plusieurs reprises sur un homme noir non armé, dans un contexte de tension raciale. Walter Scott, 50 ans, a été abattu samedi dans la ville de North Charleston après une altercation avec le policier à un contrôle routier, l'un des feux de son véhicule ne fonctionnant plus, selon des médias locaux.

Cet incident intervient dans un contexte déjà tendu et risque de raviver les tensions raciales aux Etats-Unis, déjà secoués par de nombreuses affaires d'hommes noirs abattus ou brutalisés par des policiers blancs. L'incident qui s'est produit sur un terrain vague a été filmé par un passant, qui lance des jurons tout en enregistrant la scène. Le policier, Michael Slager, 33 ans, qui risque la peine de mort ou 30 ans d'emprisonnement, a été transféré au centre de détention du comté de Charleston, a annoncé la police. Slager a d'abord affirmé via sa radio, après les coups de feu, que la victime avait pris son pistolet paralysant, selon le New York Times.

Mais la vidéo montre que Walter Scott a été touché par ce pistolet paralysant au moment où une altercation opposait les deux hommes, selon le journal. Alors que la victime, un homme corpulent, s'enfuit, courant avec difficulté, le policier dégaine son pistolet et tire huit fois sur le dos de l'homme. Il s'effondre après le dernier coup de feu. L'officier marche alors vers l'homme, allongé par terre, lui enjoignant de mettre les mains dans le dos avant de lui passer les menottes. Puis il semble récupérer un appareil qui est tombé pendant l'altercation et le jette près du corps de la victime. La vidéo a été envoyée au New York Times par l'avocat de la famille de la victime, et a été diffusée par plusieurs médias. Dans le mandat d'arrêt visant le policier et que l'AFP s'est procuré, il est indiqué que "Thomas Slager (...) a illégalement et avec préméditation tué la victime". "Il a tiré sur la victime à plusieurs reprises dans le dos après une altercation." Le maire de la ville, Keith Summey, a expliqué que l'arrestation du policier avait été motivée par sa "mauvaise décision", a rapporté le Post and Courier. "Quand vous prenez une mauvaise décision, peu importe que vous soyez là pour protéger la population ou un simple citoyen dans la rue, vous devez vivre avec cette décision", a déclaré l'édile, cité par le quotidien. Lors d'une conférence de presse mardi soir, la famille de la victime a rendu hommage au "héros" qui a filmé la scène. "S'il n'y avait pas eu de vidéo, connaîtrions-nous la vérité? Ou aurions-nous vu ce qui est sorti récemment? Mais maintenant, nous connaissons la vérité", s'est interrogé le frère de la victime, Anthony. "Le chemin que nous avons à parcourir pour tenter d'obtenir justice commence ici", a pour sa part déclaré l'avocat de la famille. Scott a été touché par cinq balles - trois fois au dos, une fois à l'oreille et une fois à la fesse - selon l'avocat de la famille, Chris Stewart, citant le médecin légiste, a rapporté le New York Times. Dans un communiqué, le ministère de la Justice a annoncé qu'il prendrait "les actions appropriées à la lumière des preuves et des développements" de l'affaire, précisant que le FBI avait également ouvert une enquête. La mort début août à Ferguson (Missouri) d'un jeune Noir non armé, tué par un policier blanc, avait provoqué des manifestations dans tout le pays pour dénoncer les violences policières à l'encontre des Noirs. Le policier de Ferguson n'a finalement pas été poursuivi en justice, faute de preuves, mais le département de la Justice a publié un rapport accablant sur les pratiques racistes habituelles de la police et des responsables de la municipalité, dont plusieurs ont démissionné dans la foulée. Le rapport était très attendu, les événements survenus à Ferguson, ajoutés à d'autres bavures policières, ayant attisé pendant des mois la colère de la communauté noire et des militants des droits civiques. Barack Obama, premier président noir des Etats-Unis, avait lui-même affirmé dans une interview que ce qui se passait à Ferguson "n'était pas un incident isolé". La Maison Blanche avait alors recommandé que des changements en profondeur aient lieu au sein des forces de police américaines, pour améliorer les relations entre les minorités et les forces de l'ordre. Un bureau du ministère de la Justice dédié à améliorer les relations entre les policiers et la communauté noire (Cops) a notamment été créé

http://www.lalibre.be/actu/international/usa-la-video-d-un-policier-blanc-qui-tue-un-noir-fait-polemique-5524aba035704bb01ba193b1

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8 avril 2015 3 08 /04 /avril /2015 22:18

Après le massacre perpétré jeudi 2 avril dans l'université de Garissa par un commando du mouvement islamiste somalien Chabab, une étudiante raconte comment elle a été épargnée par les assaillants

En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/afrique/video/2015/04/07/kenya-une-rescapee-du-massacre-de-garissa-raconte_4611045_3212.html#M3r8izMWByF5b9Hp.99

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6 avril 2015 1 06 /04 /avril /2015 22:25
Au Soudan, des militants de la démocratie jugés pour terrorisme

Depuis Paris, Wigdan Mekki suit dans l’angoisse les comptes rendus du procès en cours de son oncle, Amin Mekki Madani, jugé à Khartoum. Le sort de cet avocat à la santé fragile, aujourd’hui âgé de 76 ans, n’est pas encore scellé, mais Wigdan Mekki redoute le pire

~Figure de la société civile soudanaise, Amin Mekki Madani a longtemps travaillé pour des institutions internationales. De Gaza à Beyrouth, en passant par Zagreb, Kaboul ou Bagdad, il a fait fonction de représentant régional du bureau des droits de l’homme de l’ONU et de conseiller juridique du secrétaire général. Mais jamais, il n’a délaissé son combat pour la démocratie et les droits de l’homme dans son propre pays, le Soudan, dirigé d’une main de fer par Omar Al-Bachir, dictateur au pouvoir depuis le coup d’Etat militaire de 1989, accusé de crimes de guerre et de crimes contre l’humanité par la Cour pénale internationale (CPI). Lire aussi : Omar Al-Bachir, maître en dictature A la tête de la Confédération de la société civile soudanaise, il se retrouve aujourd’hui sur le banc des accusés d’un tribunal spécial contre le terrorisme. Nul ne sait quand s’achèvera son procès qui s’est ouvert le 30 mars. « Je ne conçois pas qu’une justice aux ordres d’Omar Al-Bachir, accusé des crimes les plus graves par la CPI, puisse juger un homme qui a dédié sa vie à la défense des droits de l’homme », s’indigne Wigdad Mekki. Pour cette linguiste établie en France, « c’est un abus de pouvoir car rien ne justifie sa détention ni un quelconque procès ». Dans son édition du 2 avril, le quotidien soudanais Al-Rakoba relayait la version de l’accusation présentant Amin Mekki Madani comme un élément coupable d’avoir œuvré à renverser le régime. Soudainement, l’humaniste serait devenu un terroriste. En cause, un document politique, « l’Appel du Soudan » (« Sudan Call »), adopté le 3 décembre dernier à Addis-Abeba par Amin Mekki Madani et Farouk Abou Issa, le chef du mouvement d’opposition National Consensus Forum, âgé de 78 ans.

Dans ce texte, les deux hommes appellent à « démanteler un régime à parti unique », à libérer le Soudan du « totalitarisme, de la violence et de la pauvreté ». Et de s’engager à mettre un terme aux « guerres et conflits » pour que la paix s’installe durablement dans le pays. Crime de « lèse-dictature » Ces six derniers mois, le régime d’Omar Al-Bachir, en pleine campagne pour sa réélection lors de la présidentielle prévue du 13 au 15 avril, s’est illustré par une série d’arrestations d’opposants contraints au silence ou à la prison.

Les auteurs de cet « Appel du Soudan » n’ont pas été épargnés. De retour d’Addis-Abeba, les deux septuagénaires, ainsi qu’un troisième homme ayant assisté à la réunion en Ethiopie, sont immédiatement arrêtés le 6 décembre et placés en détention dans un lieu tenu secret jusqu’au 21 décembre. Ils étaient en fait entre les mains des puissants services secrets soudanais, privés de leurs médicaments, selon leurs familles. Puis, ils ont été transférés à la prison Kober où sont détenus plusieurs prisonniers politiques, selon les ONG de défense des droits de l’homme qui dénoncent régulièrement le recours à la torture.

~ Par Joan Tilouine Le Monde.fr| Le 06.04.2015

http://www.lemonde.fr/afrique/article/2015/04/06/au-soudan-des-militants-de-la-democratie-juges-pour-terrorisme_4610416_3212.html

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4 avril 2015 6 04 /04 /avril /2015 22:09
Au Kenya, la fuite des chrétiens

Le fleuve Tana, aux yeux de Janett Munini Musiko, ne forme pas seulement la délimitation naturelle et administrative entre la province kényane du Nord-Est et celle de la côte.

A en croire cette mère de six enfants, les flots rougis par la terre ocre que charrie le fleuve marquent « la frontière entre deux mondes : celui dominé par la peur et l’autre où l’on se sent en paix ». Janett a franchi cette « frontière » il y a près de trois ans. Elle a quitté Garissa pour le gros bourg de Madogo, distant seulement de quatre kilomètres mais situé de l’autre côté du pont. Son départ alimente la lente érosion de la communauté chrétienne de cette ville marquée par les violences des djihadistes chabab.

Autant dire que le massacre, jeudi 2 avril, de 148 personnes à l’université de la ville, l’a confortée dans son choix.

Janett a tiré un trait sur Garissa au lendemain d’une autre attaque, perpétrée, elle, le 1er juillet 2012. Des hommes armés avaient alors pris pour cible l’église de l’Africa Inland Church (AIC), alors qu’un autre groupe attaquait simultanément la cathédrale.

Titus Musyoka garde sur sa jambe une cicatrice qui lui rappelle ce jour sombre. « Des hommes cagoulés ont commencé à tirer au travers des fenêtres, puis sont rentrés dans l’église et ont mitraillé les fidèles. J’ai reçu une balle », raconte le secrétaire de l’AIC de Garissa. Seize des fidèles réunis ce jour-là sont morts dans l’attaque.

http://www.lemonde.fr/international/article/2015/04/08/au-kenya-la-fuite-des-chretiens-de-garissa_4611441_3210.html

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3 avril 2015 5 03 /04 /avril /2015 21:44

Qui sont les Chabab, à l'origine du massacre de Garissa, au Kenya ?

Le massacre du campus de Garissa, jeudi 2 avril, qui a coûté la vie à cent quarante-huit personnes, dont cent quarante-deux étudiants, a marqué le retour en force des Chabab somaliens.

Près de deux ans après l'attaque sanglante du centre commercial Westgate de Nairobi, au Kenya, en septembre 2013, qui avait fait soixante-sept morts, le groupe islamiste a revendiqué l'acte le plus meurtrier dans le pays depuis l'attentat de l'ambassade américaine par Al-Qaida en 1998.

Après cette attaque se pose de nouveau la question de l'identité de ces combattants rattachés à Al-Qaida.

Originaires de Somalie, un pays en proie à une guerre civile qui dure depuis une vingtaine d'années, de quelle influence disposent les Chabab ? Combien de combattants comptent-ils dans leurs rangs ? Pourquoi ce groupe armé s'en prend-il au Kenya voisin ?

~ Qui sont les Chabab ?

Le groupe islamiste Harakat Al-Chabab Al-Moudjahidin (qui signifie « Mouvement de la jeunesse des moudjahidin »), plus connu sous le nom de Chabab (« la jeunesse »), apparaît en Somalie en 2006, dans le sillage de l'Union des tribunaux islamiques, qui contrôle alors Mogadiscio et y impose la charia. Lorsque les troupes éthiopiennes pénètrent en Somalie pour renverser l'Union des tribunaux islamiques et apporter leur soutien au « gouvernement fédéral de transition » du président Abdullahi Yusuf Ahmed, les Chabab servent de branche militaire radicale à l'Union des tribunaux islamiques. C'est dans cette lutte contre les forces éthiopiennes que les Chabab s'imposent progressivement. Ils prennent de l'ascendant, avant de devenir un groupe puissant. L'Ethiopie retire finalement ses troupes du pays à la fin de l'année 2008, laissant la force de paix de l'Union africaine (UA) en première ligne face à l'insurrection islamiste. Les Chabab adhèrent à la vision salafiste de l'islam. Leur objectif est d'instaurer un Etat fondé sur la charia. Le groupe s'est également lié avec Al-Qaida par l'intermédiaire de certains responsables de l'organisation à travers ses cellules en Afrique orientale. Les liens entre les Chabab et l'organisation djihadiste n'auront de cesse de se renforcer jusqu'en 2009, date à laquelle le mouvement armé somalien lui prête explicitement allégeance.

La suite sur ~~ Le Monde.fr| Le 06.04.2015 - http://www.lemonde.fr/afrique/article/2015/04/06/kenya-qui-sont-les-chabab-a-l-origine-du-massacre-de-garissa_4610445_3212.html

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2 avril 2015 4 02 /04 /avril /2015 21:39

à l'université de Garissa

 

L'université kényane de Garissa a été la cible, le 2 avril, d'une attaque de grande ampleur revendiquée par les islamistes somaliens shebab, affiliés à Al-Qaïda, et au cours de laquelle 148 personnes ont trouvé la mort.

BFMTV.com fait le point.

http://www.bfmtv.com/international/kenya-ce-qu-il-faut-savoir-sur-le-massacre-de-l-universite-de-garissa-875053.html

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9 mars 2015 1 09 /03 /mars /2015 14:01

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8 mars 2015 7 08 /03 /mars /2015 14:08

 

Une once d'espoir d'une évolution des mentalités. Quelques jours après l'action de Kubra,
des hommes ont défilé à leur tour dans les rues de Kaboul en portant des burqas, pour marquer leur solidarité vis-à-vis des femmes afghanes.

"Nous voulions dire aux responsables afghans que les misères des femmes afghanes ne peuvent être ressenties en célébrant la journée des femmes, dans des grands palais avec des discours vides", a expliqué à l'AFP Basir, 29 ans, l'un des manifestants. 

 

Les 5 mars dernier à Kaboul, plusieurs hommes ont porté une burqa pour attirer l'attention sur les droits des femmes.

Les 5 mars dernier à Kaboul, plusieurs hommes ont porté une burqa pour attirer l'attention sur les droits des femmes.

Mohammad Ismail/Reuters


En savoir plus sur http://www.lexpress.fr/actualite/monde/proche-moyen-orient/kaboul-une-artiste-vit-recluse-apres-avoir-porte-une-armure-anti-attouchements_1659135.html#sldzb4zjarf5BjOL.99
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8 mars 2015 7 08 /03 /mars /2015 14:05

Kubra Khademi, une artiste afghane, a voulu dénoncer les attouchements faits aux femmes en pleine rue dans son pays en portant une armure de fer. Depuis, la jeune femme de 27 ans vit cachée pour se protéger. 

Kaboul: une artiste vit recluse après avoir porté une armure anti-attouchements

 

Kubra Khademi a eu l'idée de ces "sous-vêtements de fer" après avoir elle-même était victime d'attouchements dans son enfance.

 

 

Shah Marai/AFP

 

Le chemin pour défendre les droits des femmes en Afghanistan est encore long. En cette journée qui leur est dédiée, l'histoire de Kubra Khademi en dit long. Cette jeune artiste afghane de 27 ans a porté, le 26 février, une armure de fer à Kaboul pour dénoncer les attouchements dans la rue. Depuis, elle affirme être obligée de se cacher pour échapper aux menaces de musulmans conservateurs.  

L'idée de cette armure est née dans la tête de Kubra Khademi quand elle était enfant. "Ce travail parle de ce qui m'est arrivé lorsque j'avais 4 ou 5 ans, confie l'artiste. Quelqu'un m'a touché dans la rue et il est parti. Pour lui j'étais juste une fille, peu importe l'âge que j'avais". A ce moment elle se dit: "Si seulement mes sous-vêtements étaient faits de fer". 

Insultes et jets de pierres

Pour 500 afghanis (moins de 10 dollars), elle a façonné sa propre armure de fer, chez un chaudronnier qui fabrique des poêles à bois. Puis elle a décidé de se lancer dans cet acte audacieux. 

image: http://static.lexpress.fr/medias_10330/w_400,c_fill,g_north/kaboul-kubra-khademi-a-porte-une-armure-anti-attouchements-1_5289353.jpg

Kubra Khademi a fabriqué elle-même cette armure qui épouse la forme de ses seins et de ses fesses.

Kubra Khademi a fabriqué elle-même cette armure qui épouse la forme de ses seins et de ses fesses.

Shah Marai/AFP

 

En quelques minutes de marche avec son armure dans un quartier du centre de Kaboul, la tension est montée. Dans la rue après avoir enlevé son manteau, la jeune artiste portant un foulard islamique s'est retrouvée harcelée de toutes parts, elle a dû abandonner très rapidement et s'enfuir sous les insultes et les jets de pierres. 

"Ces choses-là arrivent chaque jour"

"Tout s'est passé comme je l'attendais. La foule s'est rapprochée de moi en poussant un peu", raconte-t-elle. Depuis, la jeune femme reçoit des courriels avec des menaces de mort et des insultes, elle a donc décidé de se cacher dans la banlieue de Kaboul. Kubra déplore que "ces choses-là arrivent chaque jour, à chaque moment, dans ma ville". 


En savoir plus sur
http://www.lexpress.fr/actualite/monde/proche-moyen-orient/kaboul-une-artiste-vit-recluse-apres-avoir-porte-une-armure-anti-attouchements_1659135.html#sldzb4zjarf5BjOL.99
 

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